IL ETAIT UNE FOIS UN REMUE- MENINGES ASSOCIATIF.

Le samedi 27 février après midi, plus d'une quarantaine de courageux  (ses)  bénévoles ont répondu à notre invitation .

Venant d'associations et vivant des expériences diverses, ils (elles) sont venu(e)s "phosphorer"  tout un après midi  dans différents ateliers sur la vie associative locale.

La richesse des échanges est notamment venue du partage de pratiques entre des expérimentés de la vie associative et des nouveaux venus dans le monde de l'action collective.

 De l'avis général, l'initiative a été appréciée. De nombreux contacts ont été pris et ce rendez vous en appelle d'autres.

Voir le  compte rendu dans la Manche Libre:

La_Manche_Libre_5_Mars_2016

Nous vous proposons les compte-rendus des 5 ateliers de l'après midi:

Atelier 1 : Relations avec les institutions et communication externe:

Carte_Relations_institutionnelles

 Atelier 2: Gestion administrative et financière:

Synthese_groupe_gestion_adm_160227

Atelier 3: Vie interne:

Atelier_Vie_interne

Atelier 4 : Partage des tâches et renouvellement des responsables:

Atelier_partage_des_t_ches_et_renouvellement_des_responsables

Atelier 5 : Projet de l'association:

PROJET_DE_L_GP_JS

Merci à tous les participants et organisateurs!

Et à bientôt pour de nouveaux rendez vous!

Comments

[francklorphelin]

Suite à la lecture rapide des bilans de ce remue méninges, je me dis qu'une des premières choses à créer sur le saint lois est un lieu d'échanges et de rencontres pour stimuler et susciter les envies et les initiatives. (Rémi de l'asso vélo, l'appellerait un "Forum Physique"). Un lieu où on se croise, on échange, on discute, on boit, on mange... on travaille, on s'engueule, on créé, on pratique, on se ressource... Quelle forme doit il prendre ? Être axé autour d'une pratique ? de plusieurs ? Doit il être le siège d'un collectif d'asso ? Comment faire pour que ça devienne un lieu de passage ? Comment y faire venir les plus jeunes ?... Plus de questions que de réponses... mais je veux bien continuer à en discuter.

Franck L'Orphelin