L'AFFICHE QUI CREE LA POLEMIQUE.

Présente depuis le 15 Août sur les panneaux d'affichage  de l'ensemble du territoire national, une affiche censée lutter contre l'homophobie crée un malaise.

Ouest-France évoquait hier sa présence à Saint-Lô en face du Centre Mersier.

Si les intentions de cette campagne d'affichage apparaissent louables*, sa lecture rapide par des enfants ou par un public non averti risque pour le moins d' être contre-productive.

* Elle fait partie d'un ensemble d'affiches ayant la même finalité :

De nombreuses réactions indignées en attestent :

La nouvelle campagne d'affichage contre l'homophobie fait débat

" Pour qu'une femme aime les hommes, rien ne vaut un viol collectif. " Les mots sont durs à lire. Certains s'arrêtent, interloqués. D'autres détournent le regard. L'astérisque* permet de comprendre : en Jamaïque, des lesbiennes sont violées pour les " guérir ".

https://www.neonmag.fr

Une campagne contre l'homophobie très critiquée

À l'initiative d'un magazine autrichien, une campagne d'affichage destinée à lutter contre l'homophobie a été lancée dans plusieurs villes de France. Son objet : relayer une pétition demandant aux Nations unies d'abolir les lois homophobes. Mais la méthode utilisée suscite de très vives critiques.

http://www.lefigaro.fr

Et vous qu'en pensez vous?

Comments

[Le Jeune J.]

Je ne signerais pas cette pétition. Pourtant, je souhaiterais participer à cette campagne "lutter contre l'homophobie". Cette affiche est tellement ambigüe que je ne peux pas faire confiance à l'institution qui l'a choisie. L'agence de com. cible un public très étroit. La diffusion de cette affiche est donc inadaptée. Objectif raté donc ! Quel gaspillage !

[LUCE]

Problème; on ne lit que le début (en gros). Le sens en est totalement inversé.

Un jeu dangereux.